Les terroristes et ceux qui les soutiennent doivent jubiler puisque les militants du « qui tue qui » envahissent le Hirak.
Les slogans scandés lors de la protestation du vendredi le prouvent. Ceux qui n’ont pas réussi à innocenter les terroristes des crimes perpétrés dans les années 1990 et d’accuser l’Armée Nationale Populaire, (ANP), ont applaudi les slogans scandés lors du Hirak du vendredi.
« Dites à Toufik, l’ancien chef des services de renseignement, et au DRS que le peuple n’oublie pas la décennie d égorgement, et dites à Toufik : qui a tué Matoub et Hachani ? »
Ces slogans innocentent les terroristes qui ont perpétré les tueries en Algérie dans les années 1990 et accusent l’Armée Nationale Populaire d’être l’auteur de ces crimes.
Les militants du « qui tue qui » ont tenté dans d’autres pays d’accuser l’Armée Nationale Populaire des crimes perpétrés par les terroristes. Parmi ces crimes l’assassinat des moines de Tibhirine pourtant revendiqué par le GIA.
Ceux qui manipulent le Hirak pour innocenter les terroristes et accuser l’Armée Nationale Populaire n’ont pas choisi les victimes Matoub et Hachani au hasard. Le choix de Matoub est pour attiser le régionalisme, tandis que celui de Hachani est pour courtiser la base de l’ex- Front Islamique du Salut.
Ceux qui ont initié ces slogans, et contrairement à l’histoire réelle, tentent donc d’innocenter les terroristes. En accusant l’ANP, les initiateurs de ces slogans ont pour but d’acculer l’Armée Nationale Populaire et l’empêcher d’être en confrontation avec ceux qui, en manipulant le glorieux Hirak, tentent d’accéder au pouvoir.
Ce sont les mêmes qui ont initié les slogans accusant le DRS d’être une organisation terroriste. Ces slogans hostiles ne sont pas dans l’intérêt de l’Algérie, mais de ceux qui tentent d’innocenter les terroristes et de déstabiliser le pays.
Les militants du « qui tue qui » soutenus par certains médias occidentaux n’ont pas réussi à innocenter les terroristes, et reviennent en manipulant le Hirak. Ce qui prouve une collaboration qui engage les militants du « qui tue qui », des soutiens aux terroristes et de ceux qui manipulent le glorieux Hirak pour déstabiliser l’Algérie.
Le glorieux Hirak du 22 février 2019 est, en 2021, manipulé par ceux parmi les soutiens aux terroristes et les militants du « qui tue qui » tentent de déstabiliser l’Algérie et ce, au nom de la démocratie et la liberté d’expression. Hirak béni par d’anciens de l’ex Front Islamique du Salut qui, pourtant, ont combattu dans les années 1990 la démocratie.