L’entreprise française RATP – qui gérait le Métro d’Alger dont le contrat ne lui a pas été renouvelé- est attaquée en justice pour «tromperie aggravée» et «blessures involontaires».
Face à «des risques sanitaires considérables» pour les «usagers des transports en commun» franciliens, l’association « Respire » a porté plainte, lundi 22 mars, contre la RATP pour «tromperie aggravée» et «blessures involontaires», mettant en cause les niveaux de pollution de l’air dans le métro parisien, déjà montrés du doigt par cette association. Selon cette plainte, déposée devant le tribunal judiciaire de Paris, il existe «un niveau critique de la pollution de l’air dans les enceintes ferroviaires souterraines de la RATP», a rapporté mardi le journal français « Le Point ».