Pour Air Algérie, il n’y aura ni reprise de vols commerciaux ni de vols de rapatriement pour Air Algérie. La compagnie continue d’être privée de son réseau international dans un double contexte très défavorable, la crise économique et la crise sanitaire.
La trésorerie, qui pointait à moins de 70 milliards de dinars il y a un an, doit encore faire face à des charges multiples, dont la maintenance, les fournisseurs et les salaires ne sont que la face visible. Les caisses sont sur le point de tarir ; mais la société peut toujours compter sur l’appui de l’Etat, « indéboulonnable » quant à la souveraineté d’Air Algérie. Toutefois, au gouvernement, on réfléchit à un plan d’urgence…Car urgence il y a.