Puisque nous sommes en plein « dossier mémoriel », autant se dire les choses en face. Aussi, le crime du colonisateur français ne doit pas rester impuni, la France doit compenser les préjudices subis par les victimes. C’est en tous cas, le souhait du Conseil national des droits de l’homme.
En chiffres, ce sont près de 7.300 survivants à la mine enregistrés en Algérie. Soit 4.830 durant la guerre de libération. Et aussi 2.470 après l’indépendance. L’Algérie a achevé la destruction de son stock en mines antipersonnel en décembre 2016. Et ce, avant le délai arrêté par la convention d’Otawa en janvier 2017″, a -t-il relevé.