Les organisations dites non gouvernementales israéliennes, ONG, prennent d’assaut l’Afrique. Les activités de celle-ci sont très soutenues ces derniers mois. Les activités d’organisations dites non gouvernementales, ne datent pas d’aujourd’hui, et a été renforcée ces derniers mois.
Etablie en 2008, l’ONG Innovation Africa, a déjà réalisé avec succès 97 projets dans 7 pays (Ouganda, Malawi, Tanzanie, Ethiopie, Afrique du Sud, République Démocratique du Congo et Sénégal) et a été primée par l’ONU lors de l’exposition de Nairobi du 2 novembre 2013. Dans un reportage, la télévision israélienne I24 a parlé il y’ a quelques jours, d’organisations dites non gouvernementales israéliennes qui activent dans nombre de pays d’Afrique, dont le Congo, la Cote d’Ivoire, Tchad et le Mozambique.
Les dites ONG activant, officiellement, pour l’amélioration des conditions de vie des populations des régions reculées. Des structures de formations ont été crées par ces ONG au bénéfice des populations locales, précise la télévision d’Israel. Ces ONG disent qu’elles activent pour soutenir les victimes du terrorisme dans les pays du Sahel, pour procurer l’électricité et la formation pour les jeunes des populations locales. Cela a lieu parce que nombre de populations de la région souffrent de conditions de vie très difficiles. Ces conditions socioéconomiques insoutenables ont longtemps profité aux terroristes qui sévissent dans la région, dont AQMI et l’organisation dite Etat Islamique.
En 2012, un religieux chrétien a fait état de l’arrivée dans cette région du nord du Mali de quatre personnes de pays du Golfe pour, officiellement, apporter de l’aide humanitaire aux populations. Ce religieux a précisé que la marchandise n’était pas remise aux populations, mais aux terroristes qui se chargeaient de la remette aux populations et gagner les faveurs de celles-ci. C’est une forme de soutien accordé par certains pays du Golfe aux terroristes dans la région. Ceux-ci peuvent se présenter aux populations locales comme sauveteurs, face à leur abandon par l’Etat. Les terroristes qui remettaient aux populations l’aide humanitaire accordée par certains pays du Golfe, pouvaient donc lancer les discours radicaux et recruter nombre de jeunes de la région.
Pour contrecarrer les discours radicaux des terroristes; les pays de la région, dont l’Algérie, ont crée, a Alger, en 2013, avec le soutien des services de renseignement de pays de la région, dont l’Algérie, la Ligue des Oulémas, prêcheurs et Imams du Sahel, et pour mission de sensibiliser les jeunes de la région contre les discours radicaux des terroristes. Nombre d’oulémas, de prêcheurs et d’imams ont été a la rencontre de populations de la région pour les sensibiliser contre les discours radicaux des terroristes.
La persistance des conditions socioéconomiques très difficiles dans la région continuent a être un terrain fertile pour les terroristes pour les discours radicaux. Aujourd’ hui, ce ne sont pas seulement les terroristes qui investissent dans les conditions socio économiques très difficiles dont souffrent les populations de la région, puisque des organisations dites non gouvernementales israéliennes sont impliquées.
Les ONG vont a la rencontre des populations de la région pour proposer leur soutien aux populations. Les organisations dites non gouvernementales israéliennes, également sont en lice. La télévision d’Israel I24 a publié un reportage mettant en exergue ces ONG. Parmi celles-ci il y » a l’ONG appelée Afrika 2030 qui, d’après I24, travaille en coopération avec les autorités locales du Congo pour développer différentes projets et activités pour améliorer les conditions de vie des congolais.
Les ONG israéliennes travaillent dans d’autres pays d’Afrique, dont le Tchad, le Mozambique et la Cote d’Ivoire, note I24. Ces ONG, précise I24, travaillent également dans certains pays du Sahel pour la production de l’électricité aux populations. Nombre d’observateurs s’interrogent sur le but réel de ces ONG. Ces ONG sont elles en Afrique pour un travail humanitaire ou pour espionnage, disent les observateurs.