Aboudjerra Soltani a défendu récemment la candidature de son fils, Mohamed Ikbal Amine, aux législatives du 12 juin, qui s’est présenté sur une liste indépendante de la wilaya d’Alger. « Mon fils est un citoyen Algérien, le Constitution lui donne le droit de briguer un mandat électoral, c’est son droit le plus absolu, à partir du moment où il répond aux conditions fixées par la loi électorale », défend l’ancien chef du MSP et ancien ministre.
« Il n’y a aucune raison de priver un citoyen de son droit d’être candidat, parce que son père est un ancien responsable, c’est illogique et injuste, c’est une pratique qui existe dans tous les pays », insiste t-il.
Le problème pour les détracteurs de Soltani réside en ce que l’ancien chef du Msp et ancien ministre sous Bouteflika est en train d’utiliser les réseaux du mouvement islamiste, surtout les mécontents de Makri, pour placer son fils sur un piédestal.