La généralisation de l’usage des voitures électriques se considère désormais comme un projet à moyen terme en Algérie, puisque selon des visions de politique énergétique la voiture électrique se considère comme prioritaire dans un proche avenir en Algérie.
Surtout que la voiture électrique consomme 1/5 de frais que celle qui marche au carburant et joue un rôle très important dans l’équilibre de l’écosystème et de l’environnement.
Le ministre de la Transition énergétique et des Énergies renouvelables, Chems Eddine Chitour, l’a bien précisé ce mardi à Alger en indiquant que les « voitures électriques seront progressivement généralisées en Algérie d’ici à 2030 afin de réduire l’utilisation du carburant ».
Ce qui a été aussi pris en compte dans le dossier d’importation de véhicules, puisque les pouvoirs publics ont ordonné l’importation de pas moins de 5 000 voitures électriques parmi, le quota de 200 000 voitures prévues dans le programme d’importation durant cette année 2021. Ceci dans une politique qui fera que les électriques remplaceront progressivement les voitures essence et diesel, a souligné le ministre.
Selon le ministre Chitour « Nous allons commencer par l’acquisition de 5.000 voitures électriques et l’installation de stations de recharge de ce type de véhicules » afin de permettre l’approvisionnement en électricité de ce genre de voitures.
Dans ce contexte, le ministre a précisé que « le rechargement des voitures électriques coûte cinq fois moins chère que le plein des voitures fonctionnant au carburant », ceci au moment où le carburant est importé par l’Algérie contre des sommes très importantes.
C’est ainsi que le ministre a insisté sur la nécessité de sensibiliser la société à l’importance de se tourner vers les voitures électriques dans un avenir proche.
