Plus de 100 000 travailleurs se sont retrouvés au chômage, après la fermeture de pas moins de 3 000 salles de fêtes à travers le territoire national depuis mars 2020, à cause de la crise sanitaire mondiale due à la Covid-19. Ce qui peut en dire long sur la crise qui secoue ce secteur si florissant il y a quelques années, où beaucoup de personnes ont investi énormément afin de se retrouver aujourd’hui confrontés à une crise sans précédent.
C’est ainsi qu’après pas moins de 14 mois de fermeture, les acteurs de ce secteur vivent au fond d’une crise multidimensionnelle aujourd’hui, vu les énormes pertes contractées à cause de cette situation, où ils se retrouvent au bord de la faillite pour la plupart d’entre eux. Ceci au moment où les exploitants et les patrons de ces salles lancent un cri envers les pouvoirs publics, pour permettre une éventuelle réouverture de ces salles alors que nous sommes au seuil de la saison des fêtes.
Tout en promettant de se conformer au protocole sanitaire quel qu’il soit, afin de permettre le meilleur déroulement de ces joutes familiales en respectant les règles que ce soit réserver de grands espaces et encore surveiller le déroulement de ces fêtes dans une meilleure conformité selon les règles et les gestes barrières pour la protection des gens contre le coronavirus.
Ceci alors que d’autres parties dénoncent l’ouverture de salles clandestines au vu et au su de tout le monde, afin de contenir des fêtes sans aucun protocole sanitaire devant les yeux de tout un chacun, sans que quelconque ne bronche afin de remettre un peu d’ordre dans le secteur, au moment où les salles de fêtes agréées restent fermées au grand dam de leurs propriétaires, et de leurs travailleurs qui souffrent le martyre aujourd’hui après pas moins de 14 mois de chômage.
