Une des grandes curiosités de cette législative est d’avoir accouché d’un Soufiane Djilali à 1 siège, et, tenez-vous bien, à El Oued, où, paradoxe inexplicable, il ne compte pas de militants.
Bon joueur, Soufiane Djlali dit que son parti « a échoué à convaincre les Algériens de se rendre massivement aux bureaux de vote pour renouveler les institutions », ajoutant que « notre but était de trouver d’abord une solution à la crise politique institutionnelle et non de chercher des sièges ». Et s’il reconnaît que la nouvelle Assemblée est légale, il trouve cependant « sans légitimité populaire ».