A l’ère des vaches maigres, les partenariats stratégiques sont une bouée de sauvetage pour l’Algérie ; c’est certainement dans cette perspective qu’il faudrait placer l’offre de services faite par la Canada Global Business Solution (CGBS&IM), pour un partenariat avec les sociétés algériennes concernées par ce créneau.
Le consortium CGBS&IM est composé de plus de huit compagnies spécialisées dans la production, l’installation et la gestion des énergies solaires et géothermales avec une production minimale de 800 Mégawatts par an dans le solaire et 200 Mégawatts en géothermale. En outre, dans le cahier de charge de ce partenariat gagnant-gagnant avec l’Algérie, CGBS&IM table aussi sur la création de plus de 50.000 postes d’emplois.
Les huit compagnies du consortium CGBS&IM sont leader dans leurs domaines et exploitant les dernières technologies sont en mesure de procéder à une intégration de plus de 65% et plus des équipements à installer dans un délai ne dépassant pas les 5 ans dans la mesure où toutes les conditions seront réunies.
Les équipements et composants « Made In Algeria » pourront satisfaire le marché national et apte à l’exportation avec la création de 1 millions de postes d’emplois à l’horizon 2030. Le consortium est prêt à procéder à un investissement important au prorata des actions et des ententes conclues avec une prise en charge des volets études, formations, gestion, transfert technologique et l’exportation.
Le consortium en appelle au Président de la République pour insister sur le fait qu’un tel projet aura un impact stratégique dans toute l’Afrique aux vues de ces composantes qui seront constituées de la création d’ un complexe industriel unique au monde composé de :
-Une unité de fabrication de panneaux photovoltaïques (avec une capacité minimale de 800 MW a 2 gigawattes/ an)
-Une unité de fabrications de supports
-Une unité de fabrication d’ onduleurs et de composants électriques et électroniques,
-Une unité de fabrication de câbles certifiés
-Une unité de fabrication de fibre optique certifiée.
-Une unité de fabrication d’équipements de stockage électrique.
-Une unité de fabrication de luminaires LED de dernière génération.
-Une unité de fabrication de bornes de recharges pour véhicules électriques.
-Des unités d’ exploitation des gisements des matières premières pour tous les composants des intrants (exploitation de plus de 13 carrières et gisements)
-13 unités industrielles de traitement et de production des intrants .( une usine pour chaque matière première)
-Des unités de dessalement d’eau de mer à énergie solaire.
– L’exploitation des 100 sites géothermales ou plus pour la production électrique (sur 280 répertoriées)
-Des unités de valorisation des déchets et de production électrique.
-Des centrales de traitement des eaux usées.
Persuadé qu’un projet d’une telle envergure bénéficiera à l’Algérie ainsi que de son impact positif sur l’économie et l’environnement, le projet en question représente une opportunité à ne pas rater surtout dans le contexte concurrentiel actuel et permettra à l’Algérie de se hisser leader mondial.
Le consortium vise en premier lieu des partenariats avec les sociétés algériennes actrices dans ce créneau, comme Sonatrach, Sonelgaz, Seor, Seaal , AEC, Holding el djazair, etc.
Le dit consortium a déjà reçu des propositions très alléchantes, avec un très grand intérêt, de la part de plusieurs pays, et parmi eux ceux du Maghreb, ce qui lui impose une grande pression afin de peser sur les décisions du Conseil de direction du consortium, dont le seul but est de faire bénéficier l’Algérie de ce projet géostratégique.
En outre, les compagnies du consortium spécialisées dans l’industrie des traitements des eaux seront en mesure de remédier rapidement à la crise de l’eau que subit la population algérienne. De même que les autres partenaires disposent de l’expertise capable d’éradiquer définitivement les décharges à ciel ouvert qui défigurent et empoisonnent le paysage du citoyen pour les transformer en autant d’entreprises gagnantes.
Ce projet d’investissement direct étranger est en mesure d’assister les industries locales et permettra un redressement exponentiel à l’économie algérienne avec une capitalisation de plus de 5 Milliards $ sur les énergies fossiles consommées au sein du marché local.
Le projet permettra, selon ses promoteurs, d’exporter plus de 10 Milliards $ (équipements énergétiques, matières finies, semis finis et prestation de services à l’international) et de garantir l’avenir énergétique des générations futures et de l’Algérie.
Un simple calcul nous démontre que le projet en question a lui seul pourra contribuer par un apport en devises de 17 à 20 milliards $ /an en 2030/2035 au trésor public algérien, créer plus de 1 millions de postes et fera de notre pays un leader mondial incontournable dans le domaine des énergies vertes.
La réussite de cette opération rehaussera considérablement l’image de l’Algérie à l’ international