Au-delà des droits acquis en politique, sur le plan culturel et social, le droit à la vie des femmes préoccupe Maître Aït Zaï, militante féministe qui s’inquiète de l’ampleur des «féminicides». Selon elle, ce drame est visible de par les chiffres qui augmentent d’année en année. Rien que durant les 2 premiers mois de l’année en cours sept (7) femmes ont perdu la vie en Algérie.
Concernant les avancées des acquis des femmes, elle estime que « la parité se construit, ne se décrète pas», et de réaffirmer : «La Constitution conforte cette parité dans le domaine du travail, mais nous sommes toujours avec seulement 11% des femmes occupant des postes de responsabilité».