Notre consultant pour ce type de questions énergétiques, Noureddine Legheliel, à partir de Stockholm, estime dans la décision de Biden de cesser d’acheter du pétrole et du gaz à la Russie, qu’il y a une volonté de booster les ventes américaines en gaz et en pétrole, et qui coûteraient plus cher aux Européens.
« Il est certain que les prix vont monter en flèche ; la hausse va continuer sur cette trajectoire ». « Mais il faut toujours garder à l’esprit la nature volatile et imprévisible des prix, et « il y aura une baisse, affirme Legheliel ; même qu’on peut avoir une baisse de 15% en une journée ».
Mais pour le moment, les données plaident pour une hausse : « On se dirige droit vers les 150 dollars », soutient Legheliel avec conviction.