Cette dernière décennie, l’intelligence artificielle (IA) devient de plus en plus un des domaines les plus intéressants et prédominants. Du fait que, ces différentes techniques d’IA peuvent être appliqué dans la résolution de problèmes les plus compliqués. Par définition, l’IA est la science dont on peut faire à l’aide d’une machine intelligente tout ce qu’un homme pourrait le faire. De ce fait, on peut l’intégrer dans plusieurs secteurs tel que : ingénierie, informatique, robotique, diagnostic médicale, automatisation des systèmes, minimisation des risques industrielles, auto-surveillance …
Parmi ces domaines d’actualité les plus importants, on en rencontre l’intégration des énergies renouvelables dans la production de l’électricité pour garantir la consommation humaine, en face aux épuisements des ressources fossiles (pétrole, gaz naturel, charbon) et fissiles (nucléaire).
Dans notre pays l’Algérie, qui est un pays riche en gisement solaires importants, les politiques ont tournée vers l’exploitation de cette ressource renouvelable selon ses différents applications (thermique et photovoltaïque (PV)).
Dans l’axe du photovoltaïque, le système est constitué par plusieurs éléments : (panneaux PV (production), batterie (stockage), onduleur (conversion du continu à l’alternatif), régulateur (contrôle)), et ou dans chaque partie du système installé pourrait subir des dommages et des pannes à long terme.
A ce stade l’intégration des techniques d’intelligence artificielle (TIA) est très importante afin de maintenir le système à un état sain, prendre des décisions sur le système afin de réduire ces risques dangereux comme les incendies (protection), pouvoir retirer une production optimale, garantir la continuité du système pour une longue durée.
Parmi les TIA souvent utilisé, on cite :
– Les réseaux de neurones artificiels (ce sont appliqués pour le diagnostic de pannes : détection, localisation, et prendre des décisions pour la réparation).
– Les méthodes méta heuristiques à base d’inspiration biologique : (pour l’optimisation (maximisation) de la production).
Dès l’apparition de l’IA, les chercheurs n’ont cessé de se concurrencer entre eux pour inventer de nouvelles techniques, allant d’un simple neurone à un réseau de neurones, puis à un tissus (algorithme génétique), ensuite à la communication entre les individus entre eux, pour arriver à l’interaction des agents qui s’auto-organisent. Ce qui est connu par méta-heuristique (l’interaction des agents (animaux) qui sont en mesure de s’auto-organiser).
On pourrait citer à la fin que ces TIA sont tout inspiré d’un comportement réel, que par la suite sont modélisé mathématiquement pour être utilisé dans la résolution des problèmes compliqués rencontré dans la vie courante, de telle façon que ces TIA ont la particularité de résoudre un tel problème d’une façon la plus efficace.
Par Selma TCHOKETCH KEBIR, Enseignante en Intelligence artificielle