Enseignant-chercheur, analyste en sciences politiques, il a notamment enseigné à Université Mouloud Mammeri de Tizi Ouzou, puis à l’université de Bouira, Rabah Zaoui fait part à l’Express de ses points de vue concernant l’importance de ce Sommet d’Alger.
« C’est un Sommet au goût particulier, puisqu’il s’ouvre sur la terre des martyrs un certain 1er novembre, pour s’imprégner des principes de sacrifice et de don de soi.
« Le Sommet d’Alger s’est fixé des objectifs hauts et importants, et de ce fait, il n’a pas lésiné sur les moyens et la mobilisation de tous pour atteindre ce qu’il s’est fixé comme buts.
« L’Algérie possède la hauteur, les outils, et surtout l’expérience pour faire réussir ce type de réunion des chefs d’Etats arabes.
« L’objectif principal fixé par le Sommet d’Alger est la réunification des rangs arabes, un objectif très haut placé et qui n’a jamais fait l’objet auparavant de la mobilisation de la Ligue arabe et la consécration d’une nouvelle coopération interarabe construite sur les données nouvelles induites par la situation internationale et le contexte particulier que nous vivons ».
