On l’aura critiqué, dénigré, traité de tous les maux, le Qatar a tenu tête et est en passe de réussir là où les plus grands pays européens ont échoué.
Tous les joueurs ont été unanimes à dire que les conditions d’hébergement, de restauration, de confort, de récupération et de séjour ont été admirables à tout point de vue.
Enfin, le grand jour arrive. La Coupe du monde de football 2022 au Qatar est la 22e édition de la Coupe du monde de football. Elle se déroule du 20 novembre au 18 décembre 2022.
La présence du Qatar, qualifié d’office en tant que pays hôte de la compétition, perpétue la tradition des équipes faisant leur apparition pour la première fois dans l’histoire de la Coupe du monde même s’il s’agit de la première fois qu’aucune nouvelle nation ne se qualifie sur le terrain.
Dépourvu d’infrastructures sportives adaptées, l’État qatari a engagé de grands chantiers de construction pour être à l’heure.
Les critiques contre le Qatar, premier arabe et musulman à organiser la coupe du monde, n’ont pas cessé, poussant le président de la FIFA, Gianni Infantino, à prendre la défense du Qatar. Hier, après des mois de polémiques, le patron du football mondial a renvoyé les critiques à leurs contradictions, et l’Occident à son histoire. Vous pouvez partager un article en cliquant sur les icônes de partage en haut à droite de celui-ci, accusant les « hypocrites » des pays occidentaux qui s’en prennent à l’organisation du tournoi dans le petit pays du Golfe, au nom, notamment, des droits humains.
Le patron du football mondial a livré une leçon de contre-morale à l’usage des Occidentaux dans un discours résolument politique. Gianni Infantino a ouvert son propos par une anaphore : «Aujourd’hui, je me sens qatari ».