En violation flagrante du droit international et humanitaire, l’entité sioniste perpètre depuis le 7 octobre dernier, dans l’enclave de Ghaza, un génocide rarement vu dans l’histoire récente.
Foulant aux pieds les lois de la guerre et les droits humains, l’entité sioniste tue sans distinction, enfants, femmes, vieux, malades, et détruit à coups de frappes aériennes et d’attaques d’artillerie, écoles, hôpitaux, commerces, routes, habitations et édifices religieux.
Encouragée par l’immobilisme du Conseil de sécurité de l’ONU et par les clins d’œil amicaux de certains pays arabes, l’entité sioniste mène une politique de la terre brulée sur l’ensemble du territoire de la bande de Ghaza, prouvant ainsi encore une fois aux yeux du monde qu’elle ne reconnaît pas le droit à l’existence du Peuple Palestinien.
Benjamin Netanyahu ne les a‐t‐il pas d’ailleurs traités d’animaux humains qui s’en prennent à des vieux, à des enfants ? Si l’on se réfère au propos de Netanyahu, celui qui s’en prend à des vieux et à des enfants est un animal humain !!! N’est‐ce pas ce que fait l’armée sioniste depuis le 7 octobre à Ghaza ?
La définition d’animal humain donnée par Netanyahu s’applique à merveille aux sionistes qui ne tiennent compte, dans leur actuelle agression contre Ghaza d’aucune ligne rouge.
Jusqu’à ce lundi, le total des victimes de l’agression sioniste sur la bande de Ghaza, s’élève à quelque 20 500 morts dont 9 000 enfants et nourrissons. Autant dire que presque la moitié des morts sont des enfants.
Ce bilan est bien sûr provisoire puisqu’il ne prend pas en compte les centaines de victimes restées encore sous les décombres.
« On n’a jamais vu autant d’enfants morts et blessés dans un conflit que dans ce conflit à Ghaza ». Ces propos de Rony Brauman, l’ancien président de MSF, montrent en effet que l’armée sioniste fait bel et bien la guerre aux enfants et non aux combattants du Hamas comme le prétend sa machine de propagande.
A côté des massacres de civils, enfants, femmes et vieux, l’armée sioniste n’a fait depuis le début des hostilités que s’en prendre à des infrastructures civiles, rendant Ghaza quasiment inhabitable. Plus de 50% des habitations y sont totalement ou partiellement endommagées, à tel point que des experts commencent déjà à invoquer un «domicide».
Tous les hôpitaux et les centres de santé de Ghaza sont mis hors service à la suite de raids, d’assauts et de sièges des troupes sionistes. Les routes, les écoles, les édifices religieux… bref, tout ce qui relève d’infrastructures civiles est pour les sionistes une cible à détruire, arguant que les combattants du Hamas les utilisent comme boucliers ! Même les ambulances n’ont pas échappé à la furie destructrice de l’armée sioniste.
Tout est fait pour transformer Ghaza en vaste champ de ruines qu’il faudrait mettre des années pour la rebâtir et la repeupler. Deux mois et demi après le début de la guerre, il apparaît clairement que l’objectif de l’entité sioniste n’est pas d’éliminer le Hamas, mais tout simplement de détruire totalement Ghaza, ne laissant pas âme qui vive, ni édifice debout.