C’est sans doute le mois des belles moissons pour le peuple algérien et de la réaffirmation de l’Algérie dans le concert des nations, position qu’elle a désertée pendant une vingtaine d’années sous l’ancien président de la République en raison de la gestion désastreuse des affaires du pays.
Les belles moissons récoltées par le peuple algérien sont le fruit de toutes les mesures salvatrices en faveur du pouvoir d’achat prises par le président Tebboune.
Sa politique sociale marque les esprits et ce ne sont pas les étudiants qui voient leur bourse augmentée, ni les retraités dont la pension est revalorisée presque chaque année qui vont trouver à redire.
À cela s’ajoute le statut spécial des médecins et des enseignants, une grande décision qui conforte les rangs des familles de la santé et de l’enseignement avec la revalorisation des salaires.
Que dire encore des récentes inaugurations de stations de dessalement répondant aux besoins en eau potable des foyers algériens, si ce n’est que tout concourt à l’amélioration des conditions de vie du peuple algérien.
L’objectif de ces mesures est évident : instaurer une paix sociale et une stabilité durable afin de raviver un climat propice aux affaires et aux relations avec d’autres pays. Cela s’est concrétisé progressivement avec le retour triomphal de notre diplomatie, quoiqu’il ne s’agisse que d’un début prometteur.
Le président Tebboune y tient et il marque de son sceau ce redressement stratégique. Le partenariat avec de grandes puissances de ce monde, comme les États-Unis, la Russie et la Chine, est désormais une réalité palpable.
La position constante de l’Algérie vis-à-vis de la question palestinienne et de celle du Sahara occidental donne de la crédibilité à notre pays, qui œuvre pour la paix et uniquement pour cet idéal. Avec les pays du Sahel, le retour à la normale s’annonce, avec une vision prospective sur les plans géopolitique et sécuritaire.
Le réchauffement des relations algéro-espagnoles s’inscrit dans cette même logique. Nous constatons en effet que les deux pays entrent dans une phase de dégel après une période de crise, suite au positionnement de l’Espagne sur le Sahara occidental qui a impacté les relations bilatérales entre Alger et Madrid.
L’Algérie est devenue aux yeux de l’Espagne un partenaire clé, et c’est ainsi que la porte de la réconciliation s’ouvre sur un avenir prometteur dans tous les domaines, économique et sécuritaire, pour les deux pays.