L’éditorial du magazine Police, dans son hors-série n°151, affirme que l’Algérie est « une ligne rouge et malheureux sont ceux qui songent à la franchir.
Le magazine, porte-parole de la police algérienne, a déclaré également qu’aujourd’hui, après 60 ans de restauration de la souveraineté nationale, « l’Algérie émerge au monde sous une nouvelle image qui contredit les attentes frustrantes pour ceux qui ont prédit sa perte».
« Police » a ajouté que la nouvelle République, celle que les révolutionnaires du 1er novembre ont toujours voulue, a fait son chemin vers l’indépendance par des moyens simples et avec un cœur rempli d’amour de la patrie, jusqu’à l’abnégation pour parvenir à un État libre et indépendant.
L’éditorial indique qu’à partir des ruines de la destruction de cent et trente-deux ans de colonisation, dans le sillage de l’indépendance du pays et de la restauration de sa souveraineté, le processus de construction du jeune État algérien a commencé avec des fondations qui stipulaient la préservation des acquis de l’État et de ses symboles, ainsi qu’un retour aux principes nationaux et à la défense des intérêts supérieurs du pays ».
L’éditorial souligne que les principes de la police algérienne et la noblesse de son histoire, issue de l’esprit de la révolution de Novembre, ont fait qu’elle frappe d’une main de fer, de même que les autres corps de sécurité, tous ceux qui touche à l’intérêt supérieur de la nation ; qu’elle demeure à l’affût de chaque trafiquant, pour dire que l’Algérie a des lignes rouges, et que malheureux sont ceux qui songent à les transgresser ».