Alors que la Banque mondiale et autres institutions financières prévoient une récession mondiale en 2023, avec de graves dommages durables pour les économies émergentes et en développement, l’Algérie se dirige vers une amélioration économique, sociale et politique indéniable. Certes, la tâche est lourde et délicate tant les défis internes et externes sont énormes mais, elle n’est pas impossible!
La réussite du président Tebboune dans ses trois premières années de règne à faire redémarrer sur de bonnes bases la machine économique et à redonner son autorité à l’État qui était totalement affaibli et désorienté par les années Bouteflika, indiquent que le pire est derrière nous et que l’année qui s’annonce apportera d’autres grands acquis au pays.
La conjoncture internationale actuelle, délicate s’il en est, induite par le conflit russo-ukrainien, les développements improbables dans la région du Sahel et la pandémie du Covid-19 qui fait toujours des victimes, exige de rapides adaptations et réglages.
C’est ce qu’a fait et continue de faire précisément le président Tebboune. En favorisant le retour en force de l’Algérie sur la scène internationale, en démantelant les institutions héritées du règne de l’argent sale, les remplaçant par de nouvelles institutions, en faisant de l’année 2022, année du décollage économique et en lançant l’initiative de la main tendue qui vise à unifier les rangs de la société et à souder le front interne, le président Tebboune a démontré que l’édification de la nouvelle Algérie n’est pas une vue de l’esprit mais une réalité objective.
Les terribles ravages causés par l’ancien régime à la cohésion du pays et à son économie ; la corruption, la bureaucratie, le clientélisme, l’abus d’autorité qu’il a instaurés comme méthode de gouvernance ont fait énormément de mal au pays qu’il faudrait beaucoup de temps et beaucoup d’efforts et surtout l’adhésion de tous pour une total mise à niveau.
En tous cas, malgré les hostilités visibles et diffuses qui essayent de bloquer la marche de l’Algérie vers sa renaissance, des avancées palpables ont été enregistrées tant au niveau national qu’au plan international. Elles demeurent certes insuffisantes au regard des énormes potentialités du pays, mais la volonté sincère exprimée au sommet de l’État laisse présager que notre pays va quitter définitivement la zone de turbulences où l’ont jeté les années de mauvaise gouvernance.
Les priorités stratégiques du pays sont maintenant connues et fixées, elles ont pour nom, l’autosuffisance et la sécurité alimentaire, la transition énergétique, la protection et la promotion du produit local, la promotion des exportations hors hydrocarbures, la préservation du pouvoir d’achat des citoyens…et récession mondiale ou pas, l’Algérie fera tout pour réaliser les objectifs qu’elle s’est fixés dans les différents domaines.
