Comme on le sait, la cité est la première représentation de l’Etat, à échelle locale. Jusqu’à une date récente, se portait candidat qui voulait. Comme pour les législatives, les choses vont changer. Dans le bon sens. A la condition que le citoyen s’implique. Après avoir tourné et retourné les choses sous toutes les coutures, il est grand temps de revenir à l’acte politique, l’acte de choisir ses élus et de s’impliquer dans la gestion de sa commune.
Dans cette perspective, le ministre de la communication et porte-parole du gouvernement, Ammar Belhimer, a évoqué la date de la tenue des élections locales en Algérie, révélant que les élections locales 2021 auront lieu en septembre prochain.
Dans ce sillage, Ammar Belhimer a affirmé que la prochaine APN aura une nouvelle configuration marquée par l’émergence de la société civile. « On assistera à une nouvelle représentation politique adoubée d’une médiation sociale très forte », estime-t-il. La campagne électorale se tient de manière « sereine et apaisée », a-t-il précisé
Concernant la fausse illusion que les choses tournent au ralenti, Belhimer précise aussi que « peut-être qu’il y’a moins d’affiches qu’auparavant ; il s’agit d’une campagne économiquement proportionnelle aux moyens des candidats se limitant à la seule aide de l’Etat », a-t-il ajouté.