Ces dernières années, de sinistres individus habités par le démon de la haine de leur propre pays, s’adonnent avec un zèle inégalé à des entreprises de propagande de tout poil et de falsification de l’histoire ancienne et récente du pays. Épousant la même dialectique que leurs maîtres occidentaux et/ou orientaux, ces propagandistes et falsificateurs de tous acabits, usant d’une manière éhontée de mensonges et de contrevérités tentent de semer le doute sur tout ce qui touche au passé, au présent et à l’avenir du pays.
Mettant en doute le patriotisme des symboles de la révolution, les accusant parfois de traîtrise, ces sinistres individus vont même jusqu’à dire que c’est le général de Gaulle qui octroya, de son propre chef, l’indépendance à l’Algérie. La lutte acharnée des Algériens, leurs souffrances, leurs martyres, les torrents de sang versés pour la liberté du pays ne sont, pour ces bonimenteurs de l’histoire,, que du pipeau! L’animosité des ces bonimenteurs à l’endroit de la révolution algérienne qui a pourtant forcé l’admiration du monde ne date pas d’aujourd’hui.
Depuis l’époque de la guerre de l’indépendance où les partisans de l’Algérie française, mettaient tout en œuvre pour casser l’élan nationaliste et patriotique du peuple algérien, il y avait toujours des tentatives pour dénigrer la révolution algérienne et les réalisations du peuple algérien. Après la révolution et ses symboles, c’est l’armée nationale et les services de sécurité qui font aussi l’objet d’attaques incessantes de la part de ces bonimenteurs de l’histoire. Reprenant à leur compte la fameuse formule des années quatre-vingt dix « Qui tue qui ? », chère à un groupe politico-médiatique français, ces bonimenteurs tentent par de vils moyens de dédouaner totalement les hordes islamistes des massacres et de la violence aveugle des années rouges.
Les visées de ces sinistres individus sont claires comme l’eau de roche. Faire croire qu’il n y avait pas de nation algérienne avant la colonisation française, dénigrer la révolution et ses symboles, innocenter les hordes intégristes de la décennie rouge, et accuser l’armée et les services de sécurité de tous les maux. Les slogans à l’exemple de « Moukhabaret irhabia » « que tombe le régime militaire » que se répètent actuellement certains de ces bonimenteurs sont suffisants pour comprendre leurs sombres desseins. En semant les grains de la suspicion et du doute par leurs attaques répétées à l’endroit de la révolution et de ses symboles, à l’armée nationale et aux services de sécurité, c’est à la chute de l’État algérien que ces bonimenteurs de l’histoire travaillent. Heureusement que le peuple algérien qui a célébré ce samedi le 60e anniversaire de sa fête de la victoire sait à quoi s’en tenir. L’Algérie triomphera, comme elle l’a fait dans le passé !